Biographie -Guntrie-
"Bah... je fais le mort ?.."
Stockholm 1835,
.....La famille Triegunsen attend un heureuse évènement, la naissance d'un héritier pour ces riches commerçants calvinistes, liés à la bourgeoisie affairiste montante de cette fin de siècle. Le petit Gunar vient au monde dans un cercle bourgeois capitonné, au milieu des livres et des réceptions de la bonne société scandinave, car très vite, la famille voyage... Cependant, si l'enfant aime les livres et les chiffres, il s'interrèsse plus à ceux traitant de la chimie qu'aux comptes de la respectable banque créee par son père, qui souhaite ainsi réinvestir les nombreux profits accumulés par ses multiples commerces. Grâce aux très nombreuses relations de son père, il rentre comme assistant chercheur auprès d'un certain Alfred Nobel. Malheureusement, la maladresse de Guntrie occulte totalement son dévouement sans faille et sa devise (" je sers la science et c'est ma joie..."), lorsque par un terrible après midi de 1855, il se trompe dans les proportions dans le mélange pour une préparation médicinale, et fait sauter l'intégralité du laboratoire de son maître. Celui-ci le chasse vertement, non sans lui avoir soutirer le comment d'un tel exploit ( à quelle fin, Gunar ne l'a jamais su).
.....D'autres malheureux concours de circonstances facheux le font chasser de plusieurs autres laboratoires suédois dans les années qui suivent. C'est dans ce cadre là que les services secrets français remarquent celui qu'il croit être un spécialiste de la chimie de l'armement. Gunar est donc intégré à une équipe de recherche parisienne, il s'installe donc en France. Sa maladresse et sa malchance deviennent alors de notoriété publique, ce qui lui vaut bientôt le doux surnom de "porte-poisse". Son incroyable faculté à survivre, ou du moins réapparaitre après chacun des cataclysmes qu'il déchaine contre lui et ses proches (enfin, de moins en moins proches...), dans une mise en scène de plus en plus explosive au fur et à mesure du développement des explosifs, amène un vampire Tremere à donner l'étreinte à ce qu'il croit être une perle rare, un humain maîtrisant une résistance innée aux flammes. Pas de bol, c'était la boite de Pandorre, son sire s'en apperçut lorsque Guntrie ( contraction de son imprononçable nom scandinave) fit sauter le refuge en grattant une alumette pour savoir d'où venait cette drôle d'odeur de gaz. A cette mort là, comme à beaucoup d'autres, Guntrie réchappa, enfin du moins, il est revenu pour nous en raconter les circonstances...
Quelques phrases:
- Je le pousse dans le trou.
- J'aurais du utiliser un point de volonte pour sortir de la bagnole.
- Je monte dans le mirador.
© Copyright 2001 PsychoDrop -Ulrich MacManus -